Vania Studel a quinze ans. Pour elle, la vie ne semble être qu’une succession d’épreuves où chacun est condamné à n’être personne.
Entre sa mère morte lorsqu’elle avait huit ans, son père taxidermiste farfelu et ses relations difficiles avec ses camarades, elle se voit comme une malheureuse fourmi parmi d’autres. Mais un jour, elle reçoit un courriel anonyme qui lui révèle toute son originalité.
Emilie Chazerand m’avait complètement harponné avec Falalalala, c’est donc avec beaucoup de plaisir que je me suis pongée à nouveau dans son écriture. Bien que ce livre soit classé roman ado, il est tout à fait adapté pour les adultes aussi. Une très bonne lecture! (208 pages)
« Les rares pans de murs non occupés par des étagères déglinguées sont couverts d’affiches de Michael Sowa, un peintre allemand né en 1945. J’aime particulièrement celle de la volaille au collier de perles. Elle est très digne. »
» Et mon nom. Vania Strudel […]Un blase de protège-slip accolé à une pâtisserie autrichienne bourrative. »
« Cocteau disait :« Ce qu’on te reproche, cultive-le: c’est toi. »«
« Quand je suis nerveuse, j’ai une légère tendance à la diarrhée verbale. »
« Quand je prononce « Charlotte« , on peut clairement entendre « Grosse Chiasse ». Je ne sais pas comment ça se fait. »